La dose fait le poison. Toutefois, cette dose n’est pas forcément la même pour tout le monde. Une nouvelle étude révèle qu’une population humaine vivant dans les Andes argentines s’est génétiquement adaptée à un environnement pollué pour tolérer des taux d’arsenic élevés.
La sélection naturelle est un des mécanismes importants de l’évolution et est liée à la notion d’adaptation: des individus qui possèdent des caractéristiques avantageuses en termes de survie et de reproduction dans un environnement donné ont plus de chances de laisser davantage de descendants que d’autres individus; en conséquence, les caractéristiques bénéfiques, transmises de génération en génération à un nombre plus important de descendants, vont progressivement devenir plus fréquentes dans la population. Lire la suite